Filtrer par :
Zoom sur les conséquences de l'arrêté relatif à la restriction de mise sur le marché du flunitrazepam sur la vie quotidienne de ses consommateurs.
Les rapports d'activité type constituent un élément précieux de connaissance de la clientèle et de l'activité des centres spécialisés de soins aux toxicomanes (CSST). Ce recueil d'information étant en principe exhaustif, il constitue en outre une des seules sources susceptibles de fournir des données sur les usagers de drogues pris en charge par le dispositif spécialisé, au niveau régional,…
Cette recherche est centrée sur les usagers de substances psychoactives (licites comme illicites), qui, en dépit de - ou "grâce à" - leur consommation, maintiennent durablement leur statut social et leur activité professionnelle, une situation loin des stéréotypes qui continuent de fonder la plupart des représentations sociales autour de la question des drogues.
L’Enquête sur la santé et les consommations lors de l’appel de préparation à la Défense (ESCAPAD) nous éclaire sur les usages de produits psychoactifs des jeunes Français.
Le plan triennal , élaboré en 1999, incluait la mise en place d’un dispositif d’évaluation capable, trois ans après, de rendre compte de son état de réalisation et de ses impacts.
La préoccupation première des chefs de projet départementaux, en matière de prévention, est très nettement l’alcool. Le tabac est la deuxième préoccupation et le cannabis vient en troisième position. Les jeunes et les enfants sont les premiers publics visés pour la prévention.
Cette évaluation porte sur les actions mises en œuvre sur la période 1999-2001 dans le cadre des objectifs de formation du plan triennal.
Dans le cadre du plan triennal 1999-2001 de lutte contre la drogue et de prévention des dépendances, un "dispositif pilote de lutte contre la toxicomanie" a été mis en place à titre expérimental en octobre 1999, pour dix-huit mois, dans le 18ème arrondissement de Paris.
Les conventions départementales d’objectifs de lutte contre la toxicomanie ont été mises en place à partir de 1993 afin de permettre l’amélioration de la prise en charge des usagers de drogues et la promotion d’actions de prévention de l’usage de substances psychoactives dans le cadre de mesures judiciaires.